Dans le cadre d’un divorce, il arrive fréquemment qu’un accord intervienne entre les époux pour mettre fin aussi amiablement que possible à leurs différents.
Cete accord peut intervenir de diverses façons et il arrive que les signataires regrettent amèrement par la suite l’avoir donné.
Un mauvais accord vaut mieux dit l’adage populaire, qu’un bon procès ; certes mais à condition d’avoir bien pris la mesure des conséquences de cet accord. Car en matière familiale, les regrets deviennent des armes de destruction massive.
Pour éviter donc qu’un accord mal compris ou accepté trop vite ne devienne un enfer, il faut prendre un minimum de temps de réflexion, en parler avec son avocat et bien peser les conséquences de ses acceptations.